Décembre 2013 |
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Women’s Initiatives for Gender Justice est une organisation internationale de défense des droits des femmes militant pour la justice pour les femmes, comprenant l’inclusion des crimes basés sur le genre, dans les enquêtes et les poursuites judiciaires de la Cour pénale internationale (CPI) et dans les mécanismes nationaux, y compris les négociations de paix et les processus de justice. Nous travaillons avec les femmes plus touchées par les situations de conflit qui font l’objet d’une enquête de la CPI. Women’s Initiatives for Gender Justice a des programmes en Ouganda, en RDC, au Soudan, en République centrafricaine, au Kenya, en Libye et au Kirghizistan. Bureaux |
Chères amies, chers amis,Bienvenue au numéro de décembre 2013 de Voix des femmes, la lettre d’information régulière de Women's Initiatives for Gender Justice. Dans Voix des femmes, nous fournissons des mises à jour et des analyses sur les évolutions politiques, la poursuite de la justice et de la responsabilité pénale, la participation des femmes aux pourparlers de paix et aux efforts de réconciliation, et ce, du point de vue de militants pour les droits des femmes qui se trouvent dans des situations de conflits armés, notamment dans les pays qui font l’objet d’enquêtes par la Cour pénale internationale (CPI), y compris l’Ouganda, la République démocratique du Congo (RDC), le Darfour, la République centrafricaine (RCA), le Kenya, la Libye, la Côte d’Ivoire et le Mali. En plus de Voix des femmes, nous produisons régulièrement un bulletin juridique, Panorama légal de la CPI, comprenant des résumés et des analyses de genre sur les dernières décisions judiciaires et les autres développements juridiques au sein de la CPI, ainsi que des discussions sur des questions juridiques relatives à la participation des victimes devant la CPI, notamment lorsque ces questions se rapportent à des poursuites intentées pour des crimes basés sur le genre dans chacune des situations faisant l’objet d’une enquête par la CPI. Pour de plus amples informations sur le travail de Women’s Initiatives for Gender Justice et pour les éditions antérieures de Voix des femmes et Panorama légal de la CPI, veuillez consulter notre site web www.iccwomen.org. Women’s Initiatives organise une réception pendant l’Assemblée des États PartiesLe 25 Novembre 2013, Women’s Initiatives for Gender Justice et le Ministère Suédois des affaires étrangères ont organisé une réception en l’honneur de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. L’événement a eu lieu au World Forum Convention Center à l’occasion de la douzième Assemblée des États Parties (AEP) de la CPI qui s’est tenu du 20 au 28 Novembre 2013 à La Haye. 180 délégués des États Parties, fonctionnaires de la Cour et membres de la société civile participant à l’AEP étaient présents. Le discours d’ouverture du Procureur de la CPI, Fatou Bensouda a été suivi de discours prononcés par l’Ambassadeur Suédois Håkan Emsgård et la Directrice exécutive de Women’s Initiatives Brigid Inder. ■ Discours d’ouverture du Procureur (en anglais) ■ Discours de l’Ambassadeur Emsgård (en anglais) ■ Discours de Brigid Inder (en anglais) Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmesLire la déclaration complète de Women’s Initiatives for Gender Justice et ses partenaires de l’Ouganda, République Démocratique du Congo, Libye et Soudan, disponible en anglais et en français. Le Fonds au profit des victimes de la CPI publie le rapport d’évaluation externeEn 2013, le Fonds au profit des victimes de la CPI (le Fonds) a engagé l’International Center for Research on Women (ICRW) pour procéder à une évaluation indépendante des programmes du Fonds dans le Nord de l’Ouganda et en République Démocratique du Congo. Le rapport a été publié en novembre, lors de l’Assemblée des État Parties de la CPI. Il identifie des domaines clés de réussite et fournit des recommandations fondées sur des données probantes. Le rapport indique que le Fonds et ses partenaires ont apporté leur aide à plus de 110 000 victimes grâce à trois programmes d’assistance : réhabilitation physique et psychologique et support matériel. Parmi les changements les plus notables indiqués par les victimes dans cette étude étaient la possibilité de vivre à nouveau une ‘vie normale’, planifier pour le futur et reprendre le travail et l’école. Le rapport note que le Fonds a réussi à promouvoir une cohabitation paisible, renforcer la capacité institutionnelle des partenaires pour l’intégration de genre et contribuer à enlever le sentiment de ‘honte et de culpabilité’ des victimes de violences sexuelles et sexistes. Le rapport souligne également des risques et défis tels que le coût élevé et le besoin d’expertise pour prendre en charge la réhabilitation physique, le risque de traumatisme lié à la réhabilitation psychologique ainsi que la portée et la durabilité des initiatives procurant du support matériel. Une série de recommandations détaillées sont également inclues dans le rapport. Lire le rapport complet ici (en anglais). |
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